SAINT-ORSE
Inauguration Livres de Témoignages : |
Martial Faucon, ancien résistant, né en 1924, est décédé mardi 12 juillet. Il a vu les maquis se créer en 1942 dans la région de Thenon. Il a ensuite rejoint le groupe Roger de l’Armée secrète (AS), puis en avril 1944 les Francs-tireurs et partisans (FTP). Membre du groupe Roger, il a notamment participé à des combats dans le secteur avant de partir combattre en Allemagne. Il a raconté inlassablement la seconde guerre mondiale dans ses livres.
Martial Faucon a été un collaborateur de la première heure de notre site du Judaïsme d'Alsace et de Lorraine. Il nous a envoyé toutes ses publications, et le contact avec lui était particulièrement sympathique et chaleureux.
399 pages ; 24 € - 25 US$ (32,50 US$ frais d'envoi compris)
Témoignages inédits
de survivants : |
Lui-même et de nombreux témoins toujours de ce monde, ayant été
le plus souvent engagés dans le combat ou victimes de la barbarie nazie,
racontent ce qu'ils ont vu et vécu au cours de ces années terribles.
Certains des faits relatés n'ont jamais été divulgués
jusque là, et l'action de personnalités telles que Roger Deschamps
ou le Docteur André Daunois, qui ont dirigé la Résistance
dans ce secteur du Périgord, est restée dans l'ombre, de même
que les rapports avec les Britanniques et la contribution apportée par
ceux-ci.
Martial Faucon en 1945, alors qu'il participait à
l'occupation de l'Allemagne au sein du 126ème R.I. de Brive |
Ci-dessous en 1998, lors d'une reconstitution du maquis
"Roger" dans le Causse d'Ajat au côté du jeune
Christophe avec son arme factice, dans le rôle d'un maquisard |
Une séance de communication radio clandestine avec Londres depuis la Maison Deschamps. A la droite de l'opérateur, Roger Deschamps, chef du maquis "Roger", et son épouse Lily. |
Les années de
guerre et de Résistance
Des chiffres et des faits jamais publiés sur le martyre des familles juives SAINT-ORSE Dans ce nouvel ouvrage sur les années de guerre et de Résistance,
Martial FAUCON a enquêté sur les atrocités commises
à l'encontre des familles juives réfugiées et a mesuré,
grâce aux témoignages de survivants, retrouvés en
Lorraine ou aux Etats-Unis, toute l'ampleur des drames qui se sont notamment
déroulés à Saint-Orse du fait de la barbarie hitlérienne,
mais aussi les admirables actions de solidarité de la population
locale. Celles-ci, au péril de la vie et même en la perdant
comme ce fut le cas à Rosas, ont permis à plus de dix de
ces réfugiés d'échapper au massacre le 1er avril
1944, tandis que d'autres étaient également sauvés
dans les alentours. |
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